Surname
Aux-Cousteaux
Given Name
Artus
Variant Name
Arthur
Auxcousteaux
Hautcousteaux
Date of birth
circa 1590
Date of death
1656
Role
Altus
Composer (no known polyphonic works preserved)
Employee of a court chapel (musician)
Haute contre
Known voice range
Master of Music
Musician
Singer
Active period
1613 - 1656
Workplace
Amiens
Noyon
Paris
Saint-Quentin
Institution
Cathédrale d'Amiens
Cathédrale de Noyon
Chapelle royale de France
Collégiale Saint-Quentin de Saint-Quentin
Sainte-Chapelle de Paris
Biography
D’origine picarde, comme l’indique Annibal Gantez (Gantez 1643, p. 152), peut-être d’Amiens, Artus Aux-Cousteaux fut vraisemblablement formé par Jean de Bournonville à la maîtrise de Saint-Quentin dans les années 1600. À en croire la préface de ses psaumes latins édités en 1631, il servit treize années comme haute-contre dans la chapelle de Louis XIII, sans doute entre 1613 et 1627. Il semble ensuite avoir servi quelque temps comme chanteur à Noyon, avant d’occuper la charge de maître des enfants successivement à Saint-Quentin (1631) et à Amiens (1632-1634). En juin 1634, il fut engagé comme clerc à la Sainte-Chapelle de Paris où, en dépit de son mauvais caractère et de son indiscipline, il fut nommé maître de musique en mai 1642, grâce à la protection de Mathieu Molé, le premier président du parlement de Paris auquel il dédia ses Meslanges publiés en 1644 (Gantez souligne que “bien qu’on die qu’il ne tient ceste maistrise qu’a la faveur du premier président, on doit pourtant dire qu’il n’a que ce qu’il mérite” ; Gantez 1643, p. 150). Vers 1651, il se retira sur un canonicat qu’il avait obtenu, sans doute à nouveau avec l’appui de la famille Molé, à l’église Saint-Jacques de l'Hôpital à Paris, où il résida jusqu’à sa mort. Il est l’auteur d’au moins huit messes (dont quatre perdues), de psaumes, cantiques et chansons, d’un style généralement qualifié de conservateur.
Outre le livre d’Annibal Gantez (Gantez 1643, p. 150-152), nous utilisons la notice biographique de Michel Brenet (Brenet 1910 p. 347-350) et l’article du New Grove de James R. Anthony (NG2)
• Cathédrale de Saint- Quentin, 1613. Il étudie sous la direction de Jean de Bournonville à la maîtrise de la cathédrale de Saint-Quentin, avant 1613 (Brenet 1910 p. 348 citant Gomart 1851 p. 48).
• Chapelle royale de la cour de France (Louis XIII), 1613-1627. Auxcousteaux commence sa carrière comme chantre haute-contre de la chapelle du roi, probablement de 1613 à 1627, comme il le dit lui-même en 1631 dans la préface de ses Psaumes latins « avoir servy notre Roy tres juste par treize années en sa chapelle de musique » (Brenet 1910 p. 348).
• Cathédrale de Noyon, 1627- ?. Fetis assure qu’il fut chantre à Noyon en 1627 (Brenet 1910 p. 348).
• Cathédrale de Saint-Quentin, 1631-1632. Maître de musique. Il succède à Bournonville comme maître de musique à Saint-Quentin en 1631. En effet, dans un un livre de 21 psaumes latins qu’il fait paraître chez Pierre Ballard, en 1631, avec un privilège daté du 18 décembre 1629, il dit qu’ils « faisant partie de cinquante que j'ay mis en musique pendant les relasches de la charge que j'exerce en l'église royale de Saint-Quentin ». En janvier 1632, Jean de Bournonville quitte la maîtrise de musique de la cathédrale d’Amiens pour la charge de maître de musique de la Sainte-Chapelle. Il meurt en mai 1632.
• Cathédrale d’Amiens, 1632-1633. Maître de musique. Artus Auxcousteaux remplace Jean de Burnonville à Amiens. Il y était encore en 1633 (Inventaire AD 80, G 1053)
• Sainte-Chapelle de Paris, 1634-1650. Artus Au Cousteaux prestre clerc haulte-contre est reçu le 24 juin 1634. Le 23 decembre 1634, on lui attribue la chambre ci-devant occupée par Sidrac. Le 14 avril 1635, il reçoit une « gratiffication pour subvenir à la maladie qu'il a eu ces jours passés, lesd. sieurs ayant esgard à sa maladie luy ont faict don de la somme de 12 livres 16 sols ». Le 5 décembre 1637, il est reçu chapelain. Le 7 avril 1638, il reçoit une gratification de 8 livres « pour luy donner moyen de rendre bon service en lad. Sainte-Chappelle ». Le 26 février 1639, est fait mention abondamment des disputes entre le Chantre et Artus Auxcousteaux au sujet de la conduite de l’office, ce dernier précipitant la psalmodie sans attendre la fin des versetz et sans observer aucune médiation, parlant et querellant souvent aussy hault que ceulx qui chantent à l'eglise. Le Chantre menace d’en appeler au roi. Le 5 mars 1639, Artus aux cousteaux fait amende honorable. Le 7 mai 1639, Guillaume Le Blanc, maître de musique des enfants étant malade, les chanoines ordonnent « Mre Arthur Auxcousteaux ordinaire de la Sainte-Chapelle pour en l'absence et indisposition dud. Maistre de Musique prendre le soing et la conduicte de la musique dans l'eglise » (Brenet 1910 p.179, 181, 184, 185, 186, 187 d’après F-AN, LL 602 f. 16v, 203, 210v, 271v, 280 et LL 603, f.16-16v, f. 21).
Le 29 août 1640, la querelle entre le Chantre et Artus Auxcousteaux est réactivée et conduit les chanoines le 1er septembre 1640 à rayer ce dernier des distributions dans les huit jours. Sur sa requête, le 6 octobre les chanoines rétablissent et réintègrent Artus Auxcousteaux parmi les chantres et chapelains de la Sainte-Chapelle. Mieux, il obtient d’être confirmé dans sa charge de maître de musique ad nutum « à la réserve touttefois de la nourriture et education des enfans qui sera donnée et commise au Mre de grammaire ou aultre qu'il plaira à la Compaignie ». Cette réserve est elle-même levée le 25 juin 1642. Le 20 août 1644, Artus Aux cousteaux intervient pour le compte des chapelains de la Sainte-Chapelle dans un procès contre François Blaise pour la possession de la chapelle perpétuelle de Saint-Clément. Ce procès fait l’objet d’un factum (Brenet 1910 p. 187, 188, 189, 190, 193, 195 d’après F-AN, LL 603, f. 44v, 45, 46, 47v, 80v, 84v, 137-137v et F-BnF, Fm 3114).
Le 18 janvier 1645, les chanoines relatent une nouvelle querelle entre la chanoine Barrin et Artus Auxcousteaux notamment sur l’exécution du pseaume In exitu Israel. Les chanoines décident de le renvoyer. Mais le 21 janvier 1645, le Premier Président du Parlement Molé dont la famille et lui-même soutiennent Artus Auxcousteaux fait annuler son renvoi. Le 22 avril 1645, Auxcousteaux présente deux enfants de chœur à la réception, qui sont refusés par le collège. Auxcousteaux menace de quitter la Sainte-Chapelle. De même le 7 juin 1645, il présente un enfant qui n’est pas trouvé bon par Eustache Picot. Les chanoines décident de renvoyer Auxcousteaux, qui est encore sauvé par le Président Molé. Le 16 mai 1646, il est payé 18 1. pour la promenade des enfants. Le 17 avril 1647, Thomas Gobert demande à la Compagnie « de le dispenser de descendre à l'aigle pour y chanter la musique soubz la mesure de Me Artus Auxcoustaux, Me de la musique de la Ste Chapelle, attendu qu'ayant l'honneur de l'estre de celle du Roy… ». Le 15 juillet 1648, on a une nouvelle plainte du chanoine Barrin contre Auxcousteaux. La dernière mention d’Artus Auxcousteaux à la Sainte-Chapelle est celle d’un paiement le 30 juillet 1650 de 12l. 16 s. pour les feux de la Saint-Jean et la Saint-Pierre. Il n’est plus dans les effectifs de la Saint Chapelle le 16 mai 1651 dans le testament d’Eustache Picot, le maître de musique étant alors Eustache Gehenault (Brenet 1910 p. 196, 197, 198, 199, 200, 201, 202, 203, 204 d’après F-AN, LL 603, f. 147-147v, f. 148-148v, f. 155v, f. 159-159v, f. 180, 205, 237 et LL 604 f. 42).
• Eglise Saint-Jacques de l’Hôpital de Paris, 1651-1656. C'est sans doute grâce à la protection de la famille Molé et notamment à Edouard Molé, évêque de Bayeux, devenu Trésorier de la Sainte-Chapelle le 15 mai 1649, que le musicien obtient un canonicat en l’église Saint-Jacques de l'Hôpital, où il se retire probablement en quittant la Sainte-Chapelle.
• Sa réputation
Brossard a tracé un intéressant portrait d'Artus Auxcousteaux : « J'ay ouy dire par le feu Sieur Christophe Ballard dont le père a imprimé beaucoup de musique de cet auteur, que c'estoit un pedant fieffé, qui nevouloit suivre que sa teste, où il croyoit que toute la science imaginable estoit renfermée, et qui, parce qu'il occupoit le meilleur poste du royaume, s'imaginoit que tout luy devoit céder et que rien n'estoit supportable que ce qu'il faisoit ou inventoit. Et voilà sans doutte la raison pourquoy il nevoulut jamais entendre parler d'ajouter les basses continues à ses ouvrages, quoy que Mr Dumont en eût déjà introduit l'usage en France. Il ne fut pas moins ennemy de la 7e syllabe si, qui a tant facilité, depuis environ ce temps là, l'étude de la musique. Elle n'estoit pas de son invention, c'en fut assez pour la luy faire haïr. »
• Ses oeuvres (Voir NG2)
Musique sacrée
Missa, 5vv, ad imitationem moduli ‘grata sum harmonia’ (Paris, 1647)
Missa, 4vv, … secundi toni (Paris, 1726)
Missa quinti toni, 5vv, in La BordeE
Missa, 5vv, ad imitationem moduli ‘Quelle beauté ô mortels’ (Paris, 1651)
[21] Psalmi, 4–6vv (Paris, 1631)
Octo cantica Divae Mariaevirginis, 4vv (Paris, 1641)
Noëls et cantiques spirituels, 2vv (Paris, 1644)
Second livre de noëls et cantiques spirituels, 2vv (Paris, 1644)
Canticumvirginis Deiparae (Paris, 1655)
Paraphrase des Psaumes de David, 1v, bc (Paris, 2/1656 [1st edn of 1654, lost]), repr in 1659 attrib. Gobert
Musique profane
Les quatrains de Mr. Mathieu, 3vv (Paris, 1643)
Meslanges de chansons, 3–6vv (Paris, 1644), 32 chansons, 2 madrigals, 1villageoise, 1voix deville
Suite de la première partie des quatrains de Mr. Mathieu, 3vv (Paris, 1652)
Outre le livre d’Annibal Gantez (Gantez 1643, p. 150-152), nous utilisons la notice biographique de Michel Brenet (Brenet 1910 p. 347-350) et l’article du New Grove de James R. Anthony (NG2)
• Cathédrale de Saint- Quentin, 1613. Il étudie sous la direction de Jean de Bournonville à la maîtrise de la cathédrale de Saint-Quentin, avant 1613 (Brenet 1910 p. 348 citant Gomart 1851 p. 48).
• Chapelle royale de la cour de France (Louis XIII), 1613-1627. Auxcousteaux commence sa carrière comme chantre haute-contre de la chapelle du roi, probablement de 1613 à 1627, comme il le dit lui-même en 1631 dans la préface de ses Psaumes latins « avoir servy notre Roy tres juste par treize années en sa chapelle de musique » (Brenet 1910 p. 348).
• Cathédrale de Noyon, 1627- ?. Fetis assure qu’il fut chantre à Noyon en 1627 (Brenet 1910 p. 348).
• Cathédrale de Saint-Quentin, 1631-1632. Maître de musique. Il succède à Bournonville comme maître de musique à Saint-Quentin en 1631. En effet, dans un un livre de 21 psaumes latins qu’il fait paraître chez Pierre Ballard, en 1631, avec un privilège daté du 18 décembre 1629, il dit qu’ils « faisant partie de cinquante que j'ay mis en musique pendant les relasches de la charge que j'exerce en l'église royale de Saint-Quentin ». En janvier 1632, Jean de Bournonville quitte la maîtrise de musique de la cathédrale d’Amiens pour la charge de maître de musique de la Sainte-Chapelle. Il meurt en mai 1632.
• Cathédrale d’Amiens, 1632-1633. Maître de musique. Artus Auxcousteaux remplace Jean de Burnonville à Amiens. Il y était encore en 1633 (Inventaire AD 80, G 1053)
• Sainte-Chapelle de Paris, 1634-1650. Artus Au Cousteaux prestre clerc haulte-contre est reçu le 24 juin 1634. Le 23 decembre 1634, on lui attribue la chambre ci-devant occupée par Sidrac. Le 14 avril 1635, il reçoit une « gratiffication pour subvenir à la maladie qu'il a eu ces jours passés, lesd. sieurs ayant esgard à sa maladie luy ont faict don de la somme de 12 livres 16 sols ». Le 5 décembre 1637, il est reçu chapelain. Le 7 avril 1638, il reçoit une gratification de 8 livres « pour luy donner moyen de rendre bon service en lad. Sainte-Chappelle ». Le 26 février 1639, est fait mention abondamment des disputes entre le Chantre et Artus Auxcousteaux au sujet de la conduite de l’office, ce dernier précipitant la psalmodie sans attendre la fin des versetz et sans observer aucune médiation, parlant et querellant souvent aussy hault que ceulx qui chantent à l'eglise. Le Chantre menace d’en appeler au roi. Le 5 mars 1639, Artus aux cousteaux fait amende honorable. Le 7 mai 1639, Guillaume Le Blanc, maître de musique des enfants étant malade, les chanoines ordonnent « Mre Arthur Auxcousteaux ordinaire de la Sainte-Chapelle pour en l'absence et indisposition dud. Maistre de Musique prendre le soing et la conduicte de la musique dans l'eglise » (Brenet 1910 p.179, 181, 184, 185, 186, 187 d’après F-AN, LL 602 f. 16v, 203, 210v, 271v, 280 et LL 603, f.16-16v, f. 21).
Le 29 août 1640, la querelle entre le Chantre et Artus Auxcousteaux est réactivée et conduit les chanoines le 1er septembre 1640 à rayer ce dernier des distributions dans les huit jours. Sur sa requête, le 6 octobre les chanoines rétablissent et réintègrent Artus Auxcousteaux parmi les chantres et chapelains de la Sainte-Chapelle. Mieux, il obtient d’être confirmé dans sa charge de maître de musique ad nutum « à la réserve touttefois de la nourriture et education des enfans qui sera donnée et commise au Mre de grammaire ou aultre qu'il plaira à la Compaignie ». Cette réserve est elle-même levée le 25 juin 1642. Le 20 août 1644, Artus Aux cousteaux intervient pour le compte des chapelains de la Sainte-Chapelle dans un procès contre François Blaise pour la possession de la chapelle perpétuelle de Saint-Clément. Ce procès fait l’objet d’un factum (Brenet 1910 p. 187, 188, 189, 190, 193, 195 d’après F-AN, LL 603, f. 44v, 45, 46, 47v, 80v, 84v, 137-137v et F-BnF, Fm 3114).
Le 18 janvier 1645, les chanoines relatent une nouvelle querelle entre la chanoine Barrin et Artus Auxcousteaux notamment sur l’exécution du pseaume In exitu Israel. Les chanoines décident de le renvoyer. Mais le 21 janvier 1645, le Premier Président du Parlement Molé dont la famille et lui-même soutiennent Artus Auxcousteaux fait annuler son renvoi. Le 22 avril 1645, Auxcousteaux présente deux enfants de chœur à la réception, qui sont refusés par le collège. Auxcousteaux menace de quitter la Sainte-Chapelle. De même le 7 juin 1645, il présente un enfant qui n’est pas trouvé bon par Eustache Picot. Les chanoines décident de renvoyer Auxcousteaux, qui est encore sauvé par le Président Molé. Le 16 mai 1646, il est payé 18 1. pour la promenade des enfants. Le 17 avril 1647, Thomas Gobert demande à la Compagnie « de le dispenser de descendre à l'aigle pour y chanter la musique soubz la mesure de Me Artus Auxcoustaux, Me de la musique de la Ste Chapelle, attendu qu'ayant l'honneur de l'estre de celle du Roy… ». Le 15 juillet 1648, on a une nouvelle plainte du chanoine Barrin contre Auxcousteaux. La dernière mention d’Artus Auxcousteaux à la Sainte-Chapelle est celle d’un paiement le 30 juillet 1650 de 12l. 16 s. pour les feux de la Saint-Jean et la Saint-Pierre. Il n’est plus dans les effectifs de la Saint Chapelle le 16 mai 1651 dans le testament d’Eustache Picot, le maître de musique étant alors Eustache Gehenault (Brenet 1910 p. 196, 197, 198, 199, 200, 201, 202, 203, 204 d’après F-AN, LL 603, f. 147-147v, f. 148-148v, f. 155v, f. 159-159v, f. 180, 205, 237 et LL 604 f. 42).
• Eglise Saint-Jacques de l’Hôpital de Paris, 1651-1656. C'est sans doute grâce à la protection de la famille Molé et notamment à Edouard Molé, évêque de Bayeux, devenu Trésorier de la Sainte-Chapelle le 15 mai 1649, que le musicien obtient un canonicat en l’église Saint-Jacques de l'Hôpital, où il se retire probablement en quittant la Sainte-Chapelle.
• Sa réputation
Brossard a tracé un intéressant portrait d'Artus Auxcousteaux : « J'ay ouy dire par le feu Sieur Christophe Ballard dont le père a imprimé beaucoup de musique de cet auteur, que c'estoit un pedant fieffé, qui nevouloit suivre que sa teste, où il croyoit que toute la science imaginable estoit renfermée, et qui, parce qu'il occupoit le meilleur poste du royaume, s'imaginoit que tout luy devoit céder et que rien n'estoit supportable que ce qu'il faisoit ou inventoit. Et voilà sans doutte la raison pourquoy il nevoulut jamais entendre parler d'ajouter les basses continues à ses ouvrages, quoy que Mr Dumont en eût déjà introduit l'usage en France. Il ne fut pas moins ennemy de la 7e syllabe si, qui a tant facilité, depuis environ ce temps là, l'étude de la musique. Elle n'estoit pas de son invention, c'en fut assez pour la luy faire haïr. »
• Ses oeuvres (Voir NG2)
Musique sacrée
Missa, 5vv, ad imitationem moduli ‘grata sum harmonia’ (Paris, 1647)
Missa, 4vv, … secundi toni (Paris, 1726)
Missa quinti toni, 5vv, in La BordeE
Missa, 5vv, ad imitationem moduli ‘Quelle beauté ô mortels’ (Paris, 1651)
[21] Psalmi, 4–6vv (Paris, 1631)
Octo cantica Divae Mariaevirginis, 4vv (Paris, 1641)
Noëls et cantiques spirituels, 2vv (Paris, 1644)
Second livre de noëls et cantiques spirituels, 2vv (Paris, 1644)
Canticumvirginis Deiparae (Paris, 1655)
Paraphrase des Psaumes de David, 1v, bc (Paris, 2/1656 [1st edn of 1654, lost]), repr in 1659 attrib. Gobert
Musique profane
Les quatrains de Mr. Mathieu, 3vv (Paris, 1643)
Meslanges de chansons, 3–6vv (Paris, 1644), 32 chansons, 2 madrigals, 1villageoise, 1voix deville
Suite de la première partie des quatrains de Mr. Mathieu, 3vv (Paris, 1652)
Bibliography
Brenet 1910
Fiala PCR
Gantez 1643
Gomart 1851
NG2