Surname
Bournonville (de)
Given Name
Jean
Date of birth
circa 1585
Date of death
1632-5-27
Role
Composer
Master of choirboys
Master of Music
Musician
Active period
1613 - 1632
Workplace
Amiens
Noyon
Paris
Saint-Quentin
Institution
Cathédrale d'Amiens
Collégiale Saint-Quentin de Saint-Quentin
Sainte-Chapelle de Paris
Biography
La biographie de Jean de Bournonville est largement reprise de la note de Michel Brenet (Brenet 1910 p. 334, 335) et de l’article du New Grove de Denise Launay et James R. Anthony (NG2). Jean de Bournonville est né à Noyon vers 1585 et mort le 27 mai 1632, alors qu’il venait d’arriver comme maître de musique de la Sainte-Chapelle.
• Eglise collégiale de Saint Quentin, 1613-1618. Jean de Bournonville est maître des enfants. Il est cité en 1613, dans un article des comptes de la cathédrale de Cambrai : « à Me Jean de Bornouville, Me des enfans de l'eglise de M. S. St Quentin pour ses œuvres de plusieurs messes composées en musique imprimées en un livre offert au chapitre, 9 livres » (Houdoy 1880 p. 224). De plus, Claude Héméré cite en latin des chanoines et maîtres de musique célèbres de la Collégiale de Saint-Quentin « Itaque, ab aevo praesertim Ludovici 12 i, et Canonicos et scholae cantus praefectos habuimus musicae peritissimos: Josquinum a pratis, Carolum de Villari, Frumentinum, Ludovicum Compatrem, Bornouillaum, etc scriptis suis notos posteritati » (Hemeré 1643, p. 337-338, intégralement cité et traduit dans Fallows 2009, p. 15) dans lesquels Bornovillam semble de toute évidence renvoyer au nom Bournonville, très manifestement en référence à Jean de Bounonville, maître des enfants de cette église en 1613.
• Cathédrale d’Amiens, 1619-1632. Il est encore maître des enfants. Fétis affirme qu’il quitte Saint Quentin en 1618, pour occuper de façon très brève un poste équivalent à Abbeville, avant d’être nommé à Amiens en 1619. En 1619, il publie son recueil de treize messes se déclarant : Auctore Joanne de Bournonville, Ecclesiae Cathedralis Ambianensis Symphoniarca Duaci, ex officina Joannis Bogardi, M. DC. XIX. (F-BnF, Vm1 885). Il prend le même titre au frontispice des Cinquante quatrains du sieur de Pibrac, mis en musique à 2, 3, et 4 parties, par Jean de Bournonville, maître des enfants de chœur de l'église cathédrale d'Amiens. Paris, Pierre Ballard, 1622 (Collection G. Becker). Le 23 juin 1623, il est l'un des arbitres désignés pour la réception des orgues de la cathédrale d'Amiens (Durand 1922). Le titre de ses Magnificat imprimés chez Ballard avec la date 1625 le désigne comme maître de musique à Saint-Quentin, mais cette édition peut n'avoir été qu'une réimpression d'un ouvrage antérieur. Une pièce de vers placée dans le livre de treize messes, en 1619, fait allusion aux succès de Bournonville aux puys de musique de Rouen, d’Evreux et d’Abbeville.
• Sainte-Chapelle de Paris, 1632. Il est nommé maître de musique des enfants en janvier 1632, mais décède 5 mois plus tard le 27 mai 1632. Il est remplacé à ce poste par Guillaume Le Blanc (Brenet 1910, p. 176, 177 d’après F-AN, LL. 602, f. 125r, 128v, 138r et v).
Ses contemporains ont loué sa conduite exemplaire autant que ses talents musicaux et plus de dix ans après sa mort, Gantez le cite en exemple. Il eut pour élève son fils Valentin de Bournonville, qui fut maître de chapelle à Notre-Dame de Paris entre 1646 et 1653, et Artus Auxcousteaux.
• Œuvres :
8 cantica virginis matris, qua vulgo Magnificat dicuntur, cum hymnis communibus pene totius anni… Vesperae secundum ritum romanus, 4, 5vv (Paris, 1612; enlarged 2/1625)
Missa ad imitationem moduli ‘Ave maris stella’, 4vv (Paris, 1618)
Missae tredecim, quarum ultima pro defunctis, 4–6vv: ad libitum, ‘Ave Maria’, ‘Ave maris stella’, ‘Heu mihi’, septimi toni, 4vv; in cantu peregrinorum S Jacobi, ‘In nomine Jesu’, ‘Le rossignol’, ‘Nunc dimittis’, 5vv; ‘Ad nutum’, ‘Dessus le marché d'Arras’, ‘La guerre françoise’, pro defunctis, 6vv (Douai, 1619)
50 quatrains du sieur de Pybrac, 2–4vv (Paris, 1622)
2 masses, ‘Par un matin d'été’, ‘Sappi, madonna’, 4vv; 3 masses, ‘J'ay senti les doux maux’, Luscinia, ‘Narcisse’, 5vv: lost, cited in FétisB
DF
Hemeré 1643, p. 337-338 (intégralement cité et traduit dans Fallows 2009, p. 15)
Itaque, ab aevo praesertim Ludovici 12 i, et Canonicos et scholae cantus praefectos habuimus musicae peritissimos: Josquinum a pratis, Carolum de Villari, Frumentinum, Ludovicum Compatrem, Bornouillaum, etc scriptis suis notos posteritati
S’il est certain que, parmi ces personnes, Compère fut chanoine de Saint-Quentin, et s’il est tout à fait acceptable que Josquin l’ait également été, les autres noms allégués par Hémeré dans cette énumération posent tous problème, notamment parce qu’aucun ne peut être identifié à l’époque de Louis XII. Aucun Charles de Villiers, Villers ou Villars n’est connu comme chanteur (seul l’évêque de Beauvais mort en 1535, de la famille Villiers de L’Isle Adam est identifiable à cette époque). Cependant, Frumentin peut être le compositeur Fromentin* actif au milieu du XVIe siècle, et Bornovillam semble de toute évidence renvoyer au nom Bournonville, très manifestement en référence à Jean de Bounonville, qui était maître des enfants de cette église en 1612.
NG2
(1) Jean de Bournonville
(b Noyon, ?c1585; d Paris, 27 May 1632). Composer. The date of his birth shown here is that given by Fétis and repeated by Gomart, but it is not corroborated. He was director of music at the choir school of the collegiate church at Saint Quentin in 1612, when he published his Octo cantica. He seems to have sought a similar post at Cambrai in 1613, when he offered the cathedral chapter there a bound volume of his masses; it is now lost, although it may have been a first edition of the Missae tredecim. A Latin poem in praise of him, printed in that collection in 1619, tells us that he had received the first prize at the ‘puys de musique’ held at Rouen, Evreux and Abbeville, and on the title-page he is described as ‘maître de musique’ to the choirboys of Amiens Cathedral; Fétis states that he had left Saint Quentin in 1618 and had served briefly in a similar capacity at Abbeville before moving to Amiens in 1619. At the end of 1631 he was appointed director of the choir school of the Ste Chapelle, and on 3 January 1632 he was installed there ‘in the lower stalls on the right hand side, not being a priest’. That he, as a layman, was appointed to such a post was a tribute to his standing as a composer, but within five months he was dead. His contemporaries praised his gentle behaviour as much as his talents as a musician, and more than ten years after his death Gantez cited him as an example. His pupils included his son Valentin and Aux-Cousteaux.
Bournonville composed principally a cappella church music to Latin texts for liturgical use – masses, psalms, hymns, antiphons to the Virgin, Magnificat settings and motets – but he also, in the Cinquante quatrains, published settings of French moral adages. He was an excellent contrapuntist and handled imitative writing with ease, even elegance, notably in his masses and in the Cinquante quatrains: his counterpoint is lively and spontaneous, and his melodic lines, which are generally syllabic, are very like those found in chansons, especially Janequin's. The masses in Missae tredecim are sometimes based on a Gregorian cantus firmus (Ave maris stella, Ave Maria, Heu mihi, In nomine Jesu), and sometimes on the melody of a chanson (Le rossignol, Dessus le marché d'Arras, and even La guerre françoise, which was inspired by La bataille de Marignan by Janequin): the latter procedure clearly infringed the recent decrees of the Council of Trent. In the psalms and Magnificat settings which are in fauxbourdon style, the music for a given work is used for every verse, the note values being adapted to the quantities of the Latin text in accordance with the then new ideas of the humanists.
WORKS
8 cantica virginis matris, qua vulgo Magnificat dicuntur, cum hymnis communibus pene totius anni … Vesperae secundum ritum romanus, 4, 5vv (Paris, 1612; enlarged 2/1625)
Missa ad imitationem moduli ‘Ave maris stella’, 4vv (Paris, 1618)
Missae tredecim, quarum ultima pro defunctis, 4–6vv: ad libitum, ‘Ave Maria’, ‘Ave maris stella’, ‘Heu mihi’, septimi toni, 4vv; in cantu peregrinorum S Jacobi, ‘In nomine Jesu’, ‘Le rossignol’, ‘Nunc dimittis’, 5vv; ‘Ad nutum’, ‘Dessus le marché d'Arras’, ‘La guerre françoise’, pro defunctis, 6vv (Douai, 1619)
50 quatrains du sieur de Pybrac, 2–4vv (Paris, 1622)
2 masses, ‘Par un matin d'été’, ‘Sappi, madonna’, 4vv; 3 masses, ‘J'ay senti les doux maux’, Luscinia, ‘Narcisse’, 5vv: lost, cited in FétisB
BIBLIOGRAPHY
BrenetM
FétisB
La BordeE
A. Gantez: L’entretien des musiciens (Auxerre, 1643); ed. with commentary by E. Thoinan (Paris, 1878/R
S. de Brossard: Catalogue des livres de musiques, théorique et prattique, vocalle et instrumentalle (MS, 1724, F-Pn)
C.-H.-E. de Coussemaker: Notice sur les collections musicales de la Bibliothèque de Cambrai et des autres villes du Département du Nord (Paris, 1843/R)
C. Gomart: Notes historiques sur la maîtrise de Saint-Quentin et sur les célébrités musicales de cette ville (Saint Quentin, 1851/R)
A. Collette and A. Bourdon: Histoire de la maîtrise de Rouen (Rouen, 1892/R)
F.L. Chartier: L'ancien chapitre de Notre-Dame de Paris et sa maîtrise (Paris, 1897/R)
J.A. Clerval: L’ancienne maîtrise de Notre-Dame de Chartres du Ve siècle à la Révolution (Chartres, 1898/R)
G. Durand: ‘La musique de la cathédrale d'Amiens avant la Révolution’, Bulletin de la Société des antiquaires de Picardie, xxix (1920–22), 329–457; repr. in La vie musicale dans les provinces françaises (Geneva, 1971)
A.M. Yvon-Briand: La vie musicale à Notre-Dame de Paris (diss., Ecole des Chartes, Paris, 1949)
E. Schwandt: ‘Some 17th-Century French Unica in Canada: Notes for RISM’, FAM, xxvii (1980), 172–4
D. Launay: La musique religieuse en France du concile de Trente à 1804 (Paris, 1993)
• Eglise collégiale de Saint Quentin, 1613-1618. Jean de Bournonville est maître des enfants. Il est cité en 1613, dans un article des comptes de la cathédrale de Cambrai : « à Me Jean de Bornouville, Me des enfans de l'eglise de M. S. St Quentin pour ses œuvres de plusieurs messes composées en musique imprimées en un livre offert au chapitre, 9 livres » (Houdoy 1880 p. 224). De plus, Claude Héméré cite en latin des chanoines et maîtres de musique célèbres de la Collégiale de Saint-Quentin « Itaque, ab aevo praesertim Ludovici 12 i, et Canonicos et scholae cantus praefectos habuimus musicae peritissimos: Josquinum a pratis, Carolum de Villari, Frumentinum, Ludovicum Compatrem, Bornouillaum, etc scriptis suis notos posteritati » (Hemeré 1643, p. 337-338, intégralement cité et traduit dans Fallows 2009, p. 15) dans lesquels Bornovillam semble de toute évidence renvoyer au nom Bournonville, très manifestement en référence à Jean de Bounonville, maître des enfants de cette église en 1613.
• Cathédrale d’Amiens, 1619-1632. Il est encore maître des enfants. Fétis affirme qu’il quitte Saint Quentin en 1618, pour occuper de façon très brève un poste équivalent à Abbeville, avant d’être nommé à Amiens en 1619. En 1619, il publie son recueil de treize messes se déclarant : Auctore Joanne de Bournonville, Ecclesiae Cathedralis Ambianensis Symphoniarca Duaci, ex officina Joannis Bogardi, M. DC. XIX. (F-BnF, Vm1 885). Il prend le même titre au frontispice des Cinquante quatrains du sieur de Pibrac, mis en musique à 2, 3, et 4 parties, par Jean de Bournonville, maître des enfants de chœur de l'église cathédrale d'Amiens. Paris, Pierre Ballard, 1622 (Collection G. Becker). Le 23 juin 1623, il est l'un des arbitres désignés pour la réception des orgues de la cathédrale d'Amiens (Durand 1922). Le titre de ses Magnificat imprimés chez Ballard avec la date 1625 le désigne comme maître de musique à Saint-Quentin, mais cette édition peut n'avoir été qu'une réimpression d'un ouvrage antérieur. Une pièce de vers placée dans le livre de treize messes, en 1619, fait allusion aux succès de Bournonville aux puys de musique de Rouen, d’Evreux et d’Abbeville.
• Sainte-Chapelle de Paris, 1632. Il est nommé maître de musique des enfants en janvier 1632, mais décède 5 mois plus tard le 27 mai 1632. Il est remplacé à ce poste par Guillaume Le Blanc (Brenet 1910, p. 176, 177 d’après F-AN, LL. 602, f. 125r, 128v, 138r et v).
Ses contemporains ont loué sa conduite exemplaire autant que ses talents musicaux et plus de dix ans après sa mort, Gantez le cite en exemple. Il eut pour élève son fils Valentin de Bournonville, qui fut maître de chapelle à Notre-Dame de Paris entre 1646 et 1653, et Artus Auxcousteaux.
• Œuvres :
8 cantica virginis matris, qua vulgo Magnificat dicuntur, cum hymnis communibus pene totius anni… Vesperae secundum ritum romanus, 4, 5vv (Paris, 1612; enlarged 2/1625)
Missa ad imitationem moduli ‘Ave maris stella’, 4vv (Paris, 1618)
Missae tredecim, quarum ultima pro defunctis, 4–6vv: ad libitum, ‘Ave Maria’, ‘Ave maris stella’, ‘Heu mihi’, septimi toni, 4vv; in cantu peregrinorum S Jacobi, ‘In nomine Jesu’, ‘Le rossignol’, ‘Nunc dimittis’, 5vv; ‘Ad nutum’, ‘Dessus le marché d'Arras’, ‘La guerre françoise’, pro defunctis, 6vv (Douai, 1619)
50 quatrains du sieur de Pybrac, 2–4vv (Paris, 1622)
2 masses, ‘Par un matin d'été’, ‘Sappi, madonna’, 4vv; 3 masses, ‘J'ay senti les doux maux’, Luscinia, ‘Narcisse’, 5vv: lost, cited in FétisB
DF
Hemeré 1643, p. 337-338 (intégralement cité et traduit dans Fallows 2009, p. 15)
Itaque, ab aevo praesertim Ludovici 12 i, et Canonicos et scholae cantus praefectos habuimus musicae peritissimos: Josquinum a pratis, Carolum de Villari, Frumentinum, Ludovicum Compatrem, Bornouillaum, etc scriptis suis notos posteritati
S’il est certain que, parmi ces personnes, Compère fut chanoine de Saint-Quentin, et s’il est tout à fait acceptable que Josquin l’ait également été, les autres noms allégués par Hémeré dans cette énumération posent tous problème, notamment parce qu’aucun ne peut être identifié à l’époque de Louis XII. Aucun Charles de Villiers, Villers ou Villars n’est connu comme chanteur (seul l’évêque de Beauvais mort en 1535, de la famille Villiers de L’Isle Adam est identifiable à cette époque). Cependant, Frumentin peut être le compositeur Fromentin* actif au milieu du XVIe siècle, et Bornovillam semble de toute évidence renvoyer au nom Bournonville, très manifestement en référence à Jean de Bounonville, qui était maître des enfants de cette église en 1612.
NG2
(1) Jean de Bournonville
(b Noyon, ?c1585; d Paris, 27 May 1632). Composer. The date of his birth shown here is that given by Fétis and repeated by Gomart, but it is not corroborated. He was director of music at the choir school of the collegiate church at Saint Quentin in 1612, when he published his Octo cantica. He seems to have sought a similar post at Cambrai in 1613, when he offered the cathedral chapter there a bound volume of his masses; it is now lost, although it may have been a first edition of the Missae tredecim. A Latin poem in praise of him, printed in that collection in 1619, tells us that he had received the first prize at the ‘puys de musique’ held at Rouen, Evreux and Abbeville, and on the title-page he is described as ‘maître de musique’ to the choirboys of Amiens Cathedral; Fétis states that he had left Saint Quentin in 1618 and had served briefly in a similar capacity at Abbeville before moving to Amiens in 1619. At the end of 1631 he was appointed director of the choir school of the Ste Chapelle, and on 3 January 1632 he was installed there ‘in the lower stalls on the right hand side, not being a priest’. That he, as a layman, was appointed to such a post was a tribute to his standing as a composer, but within five months he was dead. His contemporaries praised his gentle behaviour as much as his talents as a musician, and more than ten years after his death Gantez cited him as an example. His pupils included his son Valentin and Aux-Cousteaux.
Bournonville composed principally a cappella church music to Latin texts for liturgical use – masses, psalms, hymns, antiphons to the Virgin, Magnificat settings and motets – but he also, in the Cinquante quatrains, published settings of French moral adages. He was an excellent contrapuntist and handled imitative writing with ease, even elegance, notably in his masses and in the Cinquante quatrains: his counterpoint is lively and spontaneous, and his melodic lines, which are generally syllabic, are very like those found in chansons, especially Janequin's. The masses in Missae tredecim are sometimes based on a Gregorian cantus firmus (Ave maris stella, Ave Maria, Heu mihi, In nomine Jesu), and sometimes on the melody of a chanson (Le rossignol, Dessus le marché d'Arras, and even La guerre françoise, which was inspired by La bataille de Marignan by Janequin): the latter procedure clearly infringed the recent decrees of the Council of Trent. In the psalms and Magnificat settings which are in fauxbourdon style, the music for a given work is used for every verse, the note values being adapted to the quantities of the Latin text in accordance with the then new ideas of the humanists.
WORKS
8 cantica virginis matris, qua vulgo Magnificat dicuntur, cum hymnis communibus pene totius anni … Vesperae secundum ritum romanus, 4, 5vv (Paris, 1612; enlarged 2/1625)
Missa ad imitationem moduli ‘Ave maris stella’, 4vv (Paris, 1618)
Missae tredecim, quarum ultima pro defunctis, 4–6vv: ad libitum, ‘Ave Maria’, ‘Ave maris stella’, ‘Heu mihi’, septimi toni, 4vv; in cantu peregrinorum S Jacobi, ‘In nomine Jesu’, ‘Le rossignol’, ‘Nunc dimittis’, 5vv; ‘Ad nutum’, ‘Dessus le marché d'Arras’, ‘La guerre françoise’, pro defunctis, 6vv (Douai, 1619)
50 quatrains du sieur de Pybrac, 2–4vv (Paris, 1622)
2 masses, ‘Par un matin d'été’, ‘Sappi, madonna’, 4vv; 3 masses, ‘J'ay senti les doux maux’, Luscinia, ‘Narcisse’, 5vv: lost, cited in FétisB
BIBLIOGRAPHY
BrenetM
FétisB
La BordeE
A. Gantez: L’entretien des musiciens (Auxerre, 1643); ed. with commentary by E. Thoinan (Paris, 1878/R
S. de Brossard: Catalogue des livres de musiques, théorique et prattique, vocalle et instrumentalle (MS, 1724, F-Pn)
C.-H.-E. de Coussemaker: Notice sur les collections musicales de la Bibliothèque de Cambrai et des autres villes du Département du Nord (Paris, 1843/R)
C. Gomart: Notes historiques sur la maîtrise de Saint-Quentin et sur les célébrités musicales de cette ville (Saint Quentin, 1851/R)
A. Collette and A. Bourdon: Histoire de la maîtrise de Rouen (Rouen, 1892/R)
F.L. Chartier: L'ancien chapitre de Notre-Dame de Paris et sa maîtrise (Paris, 1897/R)
J.A. Clerval: L’ancienne maîtrise de Notre-Dame de Chartres du Ve siècle à la Révolution (Chartres, 1898/R)
G. Durand: ‘La musique de la cathédrale d'Amiens avant la Révolution’, Bulletin de la Société des antiquaires de Picardie, xxix (1920–22), 329–457; repr. in La vie musicale dans les provinces françaises (Geneva, 1971)
A.M. Yvon-Briand: La vie musicale à Notre-Dame de Paris (diss., Ecole des Chartes, Paris, 1949)
E. Schwandt: ‘Some 17th-Century French Unica in Canada: Notes for RISM’, FAM, xxvii (1980), 172–4
D. Launay: La musique religieuse en France du concile de Trente à 1804 (Paris, 1993)
Bibliography
Brenet 1910
Durand 1922
Fallows 2009
Fétis BUM2
Héméré 1643
Houdoy 1880
NG2