Surname
Le Roy
Given Name
Étienne
Variant Name
Abbé de Saint-Laurens
Date of birth
circa 1549
Role
Dessus
Employee of a court chapel (musician)
Known voice range
Master of choirboys
Musician
Singer
Soprano
Superius
Active period
1559 - 1587
Workplace
Paris
Institution
Chapelle royale de France
Sainte-Chapelle de Paris
Biography
Etienne Le Roy est le musicien favori de Charles IX, puis de Henri III. « Entre toutes les voix, dit Sorbin, il aimoit celle de maistre Estienne Le Roy, abbé de Saint Laurent, qu'il chérissoit uniquement, et constituoit juge de tout ce qui se presentoit de bon en musique. Et non en vain à dire vray. Aussi est-il vertueux et aimable, doué de la plus belle voix de notre temps, et du plus adextre usage d’icelle ». (Sorbin 1574 f. 32v). C’était un castrat avec une « haute et douce vois » (Cimber & Danjou 1840 t. VIII, p. 342-343). Il est cité par de nombreux auteurs de l’époque par exemple (Le Fèvre de la Boderie 1578 f. 126).
• Sainte-Chapelle de Paris, 1568-1570. D’après Stein, Etienne Le Roy est reçu chanoine en 1568 et est remplacé par Bon de Broé en 1570 (Stein 1912 p. 134). Plus précisément, maître « Estienne Le Roy, chantre de la chapelle du Roy » enregistre le 4 décembre 1568 à Melun ses « lettres de collation et provision de chanoine, et prébende de la Saincte Chapelle, vacantz par le décès de feu Mre Guille Belin ». Il est encore mentionné le 22 février 1570, quand les chanoines « ont accordé que Mr Jehan (sic) Berenger sera receu chappellain ordinaire soubz la prebende de Mr. Leroy » (Brenet 1910 p. 113, 114, 115 d’après F-AN, LL 599, f. 29, f. 56-56v). Il semble avoir quitté la Sainte-Chapelle à cette époque pour devenir abbé de Saint-Laurent, tout en restant chantre de la chambre du roi. Il signera sous ce titre et sera souvent dénommé Monsieur de Saint Laurent par ses contemporains.
• Chapelle royale de France (Henri II, Charles IX, Henri III), 1559-1587.
1559 : Concernant Henri II, Estienne Le Roy figure comme petit chantre de la Chambre dans le compte des obsèques de Henri II du quartier de juillet 1559 (Handy 2008 p. 569, 571 d’après F-AN, KK 125, f. 1394). Il serait donc né vers 1549.
1562-1584 : Il est cité comme aumônier de François d’Alençon et qualifié d’abbé de Saint-Laurens aux gages de 200 livres tournois (Handy 2008 p. 539 d’après F-BnF, ms. fr. 7854, f. 55 ; voir ci-après les autres références données par Jeanice Brooks).
1560-1574 : Concernant le règne de Charles IX, il est mentionné de 1565 à 1574 comme chantre et maître des enfants de la Chambre.
Le 14 août 1565, le roi est à Angoulême. Etienne Le Roy « chantre de sa cham(br)e » est répertorié parmi les fourriers de cuisine avec un « cachet » de 10 solz tournois. Une deuxième prestation est notifiée le 21 février 1566 (Handy 2008 p. 399 d’après F-AN, Na. Fr. 20 108, pièces 76, 79).
En 1569, il figure dans un fragment de liste du Trésor pour un ordre de paiement de 92 livres parmi un groupe de chantres de la chambre pour « despence et entretenement » pour le dernier trimestre « au lieu du plat qu’ilz soulloient avoir… a raison de 20 sols par jour ». Dès 1572, il figure comme chantre et maître de trois ou quatres enfants de chœur qu’il entretient. Dans l’état de maison de Charles IX de 1572, il est cité pour 200 livres de gages annuels et 400 livres annuels pour le « deffroy du logis de troys petitz chantres nourriture et despence de leurs montures et d’ung serviteur ». Le 9 avril 1572, il reçoit d’après les comptes du Trésor 250 livres de don comme maistre des petitz chantres de la chambre. Il figure enfin dans la liste des gens de la maison du roi pour des habits de deuil sans doute pour les funérailles de Charles IX en 1574 (BrooksJ 2000 p. 396, 497 d’après F-BnF, fr. 26149 pièce 1731, F-AN, KK 134, f. 51-51v, F-BnF, Clair. 233, p. 3272, F-BnF, fr. 26171 f. 169).
Le 18 août 1572 il participe aux festivités des noces de Marguerite de Valois avec Henri de Navarre ou se donne Le paradis d’Amour, représentation scénique et allégorique, dans lequel il intervient comme soliste (Handy 2008 p. 328 citant Strong 1991 p. 208-210)
1575-1587 : Concernant Henri III, il est qualifié comme sous Charles IX de chantre de la chapelle, dessus muez, et de maître des enfants, mais en plus d’aumônier et de sous-maître de la chapelle.
Il figure au titre de l’année 1575, dans l’état de Maison d’Henri III comme aumosnier, abbé de St Laurens, sans gage, de chantres aux gages annuels de 200 livres et avec 400 livres « pour le deffroy du logis de trois petits chantres et despense de leurs montures et d’un serviteur ». Il intervient dans un fragment de liste du trésor de 1575 comme prieur de Sainct Laurens, soubmaistre de la chapelle de musicque, en charge de C. Balifre et N. Bouyer, chantres de la chambre, en vue d’un don. (BrooksJ 2000 p. 396, 398, 498 d’après F-BnF, fr. 7007, f. 94v, 125v, F-BnF, fr. 26159 pièce 293).
Au titre des années 1576 à 1578, il est cité comme chantre de la Chambre aux côtés de Roland de Lassus et reçoit 666 écus deux tiers (Handy 2008 p. 399 d’après F-BnF, ms. Dupuy 852, f. 44). Pour 1577, on possède 4 reçus datés du 29 mars, du 30 mars et deux du 2 novembre 1577 qualifié de noble et discrete personne EL., abbé de St Laurens lez Cosnes sur Loire et maistre des petitz chantres de la chambre, pour un paiement de 100 livres pour « fraiz debvis et occupations des logis desdits petitz chantres… nourriture et entretenement de leurs montures » et de 50 livres de gages pour les premier et deuxième trimestres. Il figure dans l’état de chappelle de Henri III de 1578, comme dessus mué, pour 100 écus de gages annuels, dans l’état de maison de François d’Anjou, comme aulmosnier, abbé de St Laurens pour 300 livres de gages annuels (voir ci-avant la référence d’Isabelle Handy). On possède des reçus datés des 16 novembre et 31 décembre 1578, pour un paiement de 100 livres « pour le deffray de quatre petis enffans chantres » du troisième trimestre, et de 50 livres, pour ses gages du troisième trimestre 1577, en tant que chantre de la chambre (BrooksJ 2000 p. 400, 498, 499 d’après F-BnF, fr. 26160 pièces 485, 486, 621 et 622, Cinq cents Colbert 54 f. 364v, fr. 20614 f. 47 et fr. 26161 pièces 859 et 873).
Au titre de l’année 1580, il figure dans l’état de maison d’Henri III, comme aumônier ordinaire abbé de Sainct Laurens, sans gage, en tant que chantre pour des gages annuels de 66 ecus 2 tiers et 133 ecus 1 tiers « pour le defroy du logis de troys petitz chantres de leurs montures et d’un serviteur ». Comme en 1578, il est mentionné dans les comptes du Trésor de François d’Anjou (voir ci-avant les références supplémentaires d’Isabelle Handy) en tant qu’abbé de Sainct Laurens, aulmosnier ordinaire pour un paiement de 100 ecus qui lui sont dus pour les gages annuels de 1580, non payés par « faulte de fondz » (BrooksJ 2000 p. 402, 403, 499 d’après F-BnF, Dupuy 127, f. 60v, f. 91v-92 et F-AN, KK 238 f. 42).
Au titre des années 1583 et 1584, Etienne Le Roy est mentionné dans les comptes de l’Argenterie d’Henri III de 1583 en tant que Sieur de St Laurens pour l’achat de linges pour quatre petits chantres de la chambre, dans l’état de maison d’Henri III de 1584 en tant que chantres pour pour des gages annuels de 66 e 2 tiers et une somme de 133 e 1 tiers « pour le defroy du logis de troys petitz chantres de leurs montures et d’un serviteur ». Il figure dans les comptes du payeur de la maison d’Henri III en tant qu’aulmosnier, abbé de St Laurens, parmi les aumôniers non payés en 1584. Enfin, il est dans la liste des membres de la maison d’Henri III retenus pour des gages en 1584, en tant que vois ordinaires, St Laurens Le Roy est retenu « et les deux enfans avec luy » (BrooksJ 2000 p. 404, 406, 499, 500 d’après F-AN, KK 138 f. 34, 80, 373 et F-BnF, Dupuy 489, f. 13). En 1583, il figure parmi les membres de la Congégation des penitents (Handy 2008 p. 399 d’après F-BnF, n. a. fr. 7549, f. 22v et citant Heures de Nostre-Dame, pour la congrégation Roiale des Penitens de l’Annonciation de Nostre-Dame, Paris, Jamet Mettayer, 1553)
Au titre de 1586 et 1587, il est mentionné dans une liste des chanteurs de la chapelle et des officiers d’Henri III autour de 1586 et dans un fragment de liste du Trésor d’Henri III du 10 février 1586 (Isabel Handy écrit 1587), pour un don pour les étrennes de 100 e à partager avec J. Chavis et 13 autres chanteurs de la chapelle (non nommés) (BrooksJ 2000 p. 410, 500 d’après F-BnF, Cinq cents Colbert 10 f. 10v-11 et n. a. fr. 1441, f. 40).
• Sainte-Chapelle de Bourges, 1585. Le 5 mars 1585, « Yves Bessac, procureur de messire François de la Grange clerc du diocèse de Bourges qui a eu du roi la collation de la prebende de feu messire Louys de Chevrier ; et par ces lettres de provision par clause expresse avoir hosté et debouté tout autre illegitime possesseur mesmement messire Estienne Le Roy abbé de Saint-Laurent ; mais ilz refusent de le recevoir, veue la prinse de possession qu’en a faicte cydavant ledit Le Roy ». Il n’a qu’à faire un procès. Le 15 juillet 1585, « noble et scientifique personne messire François Godard, chanoine et chancellier en l’eglise de Bourges » a provision royale de la prebende resignée par messire Estienne Le Roy. Messieurs ont conclud que ledit Godard sera receu (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1544).
• Sainte-Chapelle de Paris, 1568-1570. D’après Stein, Etienne Le Roy est reçu chanoine en 1568 et est remplacé par Bon de Broé en 1570 (Stein 1912 p. 134). Plus précisément, maître « Estienne Le Roy, chantre de la chapelle du Roy » enregistre le 4 décembre 1568 à Melun ses « lettres de collation et provision de chanoine, et prébende de la Saincte Chapelle, vacantz par le décès de feu Mre Guille Belin ». Il est encore mentionné le 22 février 1570, quand les chanoines « ont accordé que Mr Jehan (sic) Berenger sera receu chappellain ordinaire soubz la prebende de Mr. Leroy » (Brenet 1910 p. 113, 114, 115 d’après F-AN, LL 599, f. 29, f. 56-56v). Il semble avoir quitté la Sainte-Chapelle à cette époque pour devenir abbé de Saint-Laurent, tout en restant chantre de la chambre du roi. Il signera sous ce titre et sera souvent dénommé Monsieur de Saint Laurent par ses contemporains.
• Chapelle royale de France (Henri II, Charles IX, Henri III), 1559-1587.
1559 : Concernant Henri II, Estienne Le Roy figure comme petit chantre de la Chambre dans le compte des obsèques de Henri II du quartier de juillet 1559 (Handy 2008 p. 569, 571 d’après F-AN, KK 125, f. 1394). Il serait donc né vers 1549.
1562-1584 : Il est cité comme aumônier de François d’Alençon et qualifié d’abbé de Saint-Laurens aux gages de 200 livres tournois (Handy 2008 p. 539 d’après F-BnF, ms. fr. 7854, f. 55 ; voir ci-après les autres références données par Jeanice Brooks).
1560-1574 : Concernant le règne de Charles IX, il est mentionné de 1565 à 1574 comme chantre et maître des enfants de la Chambre.
Le 14 août 1565, le roi est à Angoulême. Etienne Le Roy « chantre de sa cham(br)e » est répertorié parmi les fourriers de cuisine avec un « cachet » de 10 solz tournois. Une deuxième prestation est notifiée le 21 février 1566 (Handy 2008 p. 399 d’après F-AN, Na. Fr. 20 108, pièces 76, 79).
En 1569, il figure dans un fragment de liste du Trésor pour un ordre de paiement de 92 livres parmi un groupe de chantres de la chambre pour « despence et entretenement » pour le dernier trimestre « au lieu du plat qu’ilz soulloient avoir… a raison de 20 sols par jour ». Dès 1572, il figure comme chantre et maître de trois ou quatres enfants de chœur qu’il entretient. Dans l’état de maison de Charles IX de 1572, il est cité pour 200 livres de gages annuels et 400 livres annuels pour le « deffroy du logis de troys petitz chantres nourriture et despence de leurs montures et d’ung serviteur ». Le 9 avril 1572, il reçoit d’après les comptes du Trésor 250 livres de don comme maistre des petitz chantres de la chambre. Il figure enfin dans la liste des gens de la maison du roi pour des habits de deuil sans doute pour les funérailles de Charles IX en 1574 (BrooksJ 2000 p. 396, 497 d’après F-BnF, fr. 26149 pièce 1731, F-AN, KK 134, f. 51-51v, F-BnF, Clair. 233, p. 3272, F-BnF, fr. 26171 f. 169).
Le 18 août 1572 il participe aux festivités des noces de Marguerite de Valois avec Henri de Navarre ou se donne Le paradis d’Amour, représentation scénique et allégorique, dans lequel il intervient comme soliste (Handy 2008 p. 328 citant Strong 1991 p. 208-210)
1575-1587 : Concernant Henri III, il est qualifié comme sous Charles IX de chantre de la chapelle, dessus muez, et de maître des enfants, mais en plus d’aumônier et de sous-maître de la chapelle.
Il figure au titre de l’année 1575, dans l’état de Maison d’Henri III comme aumosnier, abbé de St Laurens, sans gage, de chantres aux gages annuels de 200 livres et avec 400 livres « pour le deffroy du logis de trois petits chantres et despense de leurs montures et d’un serviteur ». Il intervient dans un fragment de liste du trésor de 1575 comme prieur de Sainct Laurens, soubmaistre de la chapelle de musicque, en charge de C. Balifre et N. Bouyer, chantres de la chambre, en vue d’un don. (BrooksJ 2000 p. 396, 398, 498 d’après F-BnF, fr. 7007, f. 94v, 125v, F-BnF, fr. 26159 pièce 293).
Au titre des années 1576 à 1578, il est cité comme chantre de la Chambre aux côtés de Roland de Lassus et reçoit 666 écus deux tiers (Handy 2008 p. 399 d’après F-BnF, ms. Dupuy 852, f. 44). Pour 1577, on possède 4 reçus datés du 29 mars, du 30 mars et deux du 2 novembre 1577 qualifié de noble et discrete personne EL., abbé de St Laurens lez Cosnes sur Loire et maistre des petitz chantres de la chambre, pour un paiement de 100 livres pour « fraiz debvis et occupations des logis desdits petitz chantres… nourriture et entretenement de leurs montures » et de 50 livres de gages pour les premier et deuxième trimestres. Il figure dans l’état de chappelle de Henri III de 1578, comme dessus mué, pour 100 écus de gages annuels, dans l’état de maison de François d’Anjou, comme aulmosnier, abbé de St Laurens pour 300 livres de gages annuels (voir ci-avant la référence d’Isabelle Handy). On possède des reçus datés des 16 novembre et 31 décembre 1578, pour un paiement de 100 livres « pour le deffray de quatre petis enffans chantres » du troisième trimestre, et de 50 livres, pour ses gages du troisième trimestre 1577, en tant que chantre de la chambre (BrooksJ 2000 p. 400, 498, 499 d’après F-BnF, fr. 26160 pièces 485, 486, 621 et 622, Cinq cents Colbert 54 f. 364v, fr. 20614 f. 47 et fr. 26161 pièces 859 et 873).
Au titre de l’année 1580, il figure dans l’état de maison d’Henri III, comme aumônier ordinaire abbé de Sainct Laurens, sans gage, en tant que chantre pour des gages annuels de 66 ecus 2 tiers et 133 ecus 1 tiers « pour le defroy du logis de troys petitz chantres de leurs montures et d’un serviteur ». Comme en 1578, il est mentionné dans les comptes du Trésor de François d’Anjou (voir ci-avant les références supplémentaires d’Isabelle Handy) en tant qu’abbé de Sainct Laurens, aulmosnier ordinaire pour un paiement de 100 ecus qui lui sont dus pour les gages annuels de 1580, non payés par « faulte de fondz » (BrooksJ 2000 p. 402, 403, 499 d’après F-BnF, Dupuy 127, f. 60v, f. 91v-92 et F-AN, KK 238 f. 42).
Au titre des années 1583 et 1584, Etienne Le Roy est mentionné dans les comptes de l’Argenterie d’Henri III de 1583 en tant que Sieur de St Laurens pour l’achat de linges pour quatre petits chantres de la chambre, dans l’état de maison d’Henri III de 1584 en tant que chantres pour pour des gages annuels de 66 e 2 tiers et une somme de 133 e 1 tiers « pour le defroy du logis de troys petitz chantres de leurs montures et d’un serviteur ». Il figure dans les comptes du payeur de la maison d’Henri III en tant qu’aulmosnier, abbé de St Laurens, parmi les aumôniers non payés en 1584. Enfin, il est dans la liste des membres de la maison d’Henri III retenus pour des gages en 1584, en tant que vois ordinaires, St Laurens Le Roy est retenu « et les deux enfans avec luy » (BrooksJ 2000 p. 404, 406, 499, 500 d’après F-AN, KK 138 f. 34, 80, 373 et F-BnF, Dupuy 489, f. 13). En 1583, il figure parmi les membres de la Congégation des penitents (Handy 2008 p. 399 d’après F-BnF, n. a. fr. 7549, f. 22v et citant Heures de Nostre-Dame, pour la congrégation Roiale des Penitens de l’Annonciation de Nostre-Dame, Paris, Jamet Mettayer, 1553)
Au titre de 1586 et 1587, il est mentionné dans une liste des chanteurs de la chapelle et des officiers d’Henri III autour de 1586 et dans un fragment de liste du Trésor d’Henri III du 10 février 1586 (Isabel Handy écrit 1587), pour un don pour les étrennes de 100 e à partager avec J. Chavis et 13 autres chanteurs de la chapelle (non nommés) (BrooksJ 2000 p. 410, 500 d’après F-BnF, Cinq cents Colbert 10 f. 10v-11 et n. a. fr. 1441, f. 40).
• Sainte-Chapelle de Bourges, 1585. Le 5 mars 1585, « Yves Bessac, procureur de messire François de la Grange clerc du diocèse de Bourges qui a eu du roi la collation de la prebende de feu messire Louys de Chevrier ; et par ces lettres de provision par clause expresse avoir hosté et debouté tout autre illegitime possesseur mesmement messire Estienne Le Roy abbé de Saint-Laurent ; mais ilz refusent de le recevoir, veue la prinse de possession qu’en a faicte cydavant ledit Le Roy ». Il n’a qu’à faire un procès. Le 15 juillet 1585, « noble et scientifique personne messire François Godard, chanoine et chancellier en l’eglise de Bourges » a provision royale de la prebende resignée par messire Estienne Le Roy. Messieurs ont conclud que ledit Godard sera receu (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1544).
Bibliography
Brenet 1910
BrooksJ 2000
Handy 2008
Pilleboue PCR
Stein 1912