Surname
Gentilz
Given Name
Simon
Variant Name
Symon
Role
Musician
Singer
Active period
1548 - 1563
Workplace
Bourges
Institution
Sainte-Chapelle de Bourges
Biography
Sainte-Chapelle de Bourges, 1548-1563. Le 3 février 1548, « messieurs ont arresté le pain de Simon Gentilz et Gilbert Bogy marrelliers pour la faulte quilz firent hyer en la sonnerie » [Il y a deux vicaires mareliers : Jean Testard et G de Baugy. S. Gentilz doit donc être serviteur des marreliers]. Le 10 mars 1548, « sera paié a Simon Gentilz, gaigier de l’eglise la somme de 8 lt. qui seroit mise entre les mains de messieurs de Beauregard et de La Grange pour luy avoir une robbe ». Le 14 avril 1548, on « achetera une robbe pour Moquet au pris de celle que a eue Simon Gentilz ». Le 9 avril 1549, Symon Gentilz gagier de l’eglise reçoit la somme de 60 sous tournois « pour luy avoir ung pourpoint et une paire de chausses ». Le 12 novembre 1549, « sera achapté 8 aulnes de drap pour messires Simon Gentilz et Jehan de Vulcourt gaigiers de l’eglise pour leur faire a chacun d’eulx une robbe et pour ce faire ont commis lesdits de Beauregard et de La Grange ». Le 12 mars 1550, Simon Gentilz demande « qu’il plaise a messieurs lui augmenter ses gaiges ». Le chapitre sursoit sa réponse (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1517, 8G 1518, f. 28v et autres).
Le 25 aout 1551, « sera baillé à Simon Gentilz gaigier de l’eglise la somme de 35 sous pour paier lapothicaire qui la penssé de sa malladie et pour le barbier qui l’a saigné ». Le 5 avril 1552, Simon Gentilz gagier de l’eglise reçoit « 10 livres tournois. pour lui avoir une robbe ». Le 25 juin 1552, Simon Gentilz vicaire est présenté à la place de messire Gilbert Bogy. Le rapport du chantre « l’a trouvé défectueux en voix, au moien de quoy lui semble que ledit Gentilz ne pourroit tenir et exercer ledit office ; veue la requeste dudit Gentilz présent qui les a priez et requis le recevoir a la charge qu’il deservira sa vie durant a la marrelle, et y fera sa residence, et qu’il ne pourra a l’advenir demander place de vicaire ou chappellain, et que des a present il se contente de ladite place de vicaire marrelier, messieurs en considerant que ledit Gentilz a de tout son jeune aige esté enffant de cueur en l’eglise de ceans et qu’il a toujours bien deservi ont esté d’advis le recevoir comme vicaire ». Le 19 octobre 1552, « messieurs ont ordonné qu’on paiera a Fraçoise Gentilz [peut-être une parente] revenderesse 16 lt. 12 sols 6 d. pour 9 aulnes de drap blanc pour faire des chausses aux enffans de cueur et pour les habiller ». Le 16 juin 1554, messieurs ont « ordonné que Simon Gentilz aura la clef des livres de musique pour sen donner garde autant de temps que Testard les a gardés et dont il sera responsable ». Le 3 novembre 1554, « le trésorier a presenté comme vicaire Simon Gentilz a la place de messire François Courrat ». Le 19 janvier 1555, le chantre présente son rapport sur Simon Gentilz. « Il a oy chanter de musique psalmodier dire espitre et evangille audit Simon Gentilz, lequelle il a trouvé incapable en voix que est la principalle partye de musique et plus requise en l’estat et office auquel il est presenté. Et est ce qui lui semble en vraye verité a ceste cause ne doit ledit Gentilz estre receu audit lieu et place. Joinct qu’il cognoist ladite Sainte-Chapelle estre degarnye de musiciens ayant bonne voix pour l’ornement et decoration de ladite eglise, ainsi que a volu et entendu le fondateur. Aussi que que pour ladite insuffisance, il a esté ordonné en chapitre a la requeste et priere dudit Gentilz que ne seroit receu a aultre place que de vicaire marrelier en laquelle il est, dont il s’est contenté et permis a l’advenir ne pouvoir demander aultre place de vicaire ou chappelain » (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1519, 8G 1520, 8G 1522).
Le 6 août 1555, « Symon Gentilz vicaire marrelier est comparu en chappitre lequel a pryé messieurs le revoir a la place de vicaire en l’eglise de ceans vaccant par le trespas de feu messire François Courrat suyvant la nommination que a faicte a chappitre monsieur le tresorier ; auquel Gentilz, messieurs ont faict responce que pieça feu monsieur le chantre messire Jaques Alabat auquel il avoit esté renvoyé pour l’examen avoit raporté son insuffisance qui estoit satisfaict a sadite requeste ». Le 17 août 1555, « en presence de maistres Jehan d’Auberville et Jehan Millet notaires royaux est comparu en chapitre messire Symon Gentilz vicaire marrellier qui a dict et declairé a monsieur le trésorier… que veu l’appel interjecté par messieurs le jour d’hier comme d’abbus en la court de Parlement a Paris de la collation et provision qui lui a esté faicte par ledit tresorier de l’office et place de vicaire que tenoit feu messire François Courrat [et vu qu’il est encore temps de renoncer a cet appel] a declaré qu’il ne veult se aider des lettres patentes par luy obtenues du roy nostre sire de l’entherinement desquelles est question, ne semblablement de ladite collation et provision a lui faicte par monsieur le tresorier dudit office et le 13e jour d’avril 1555 dernier signées Chevallier et se desiste de sesdites lettres patentes et de ladite collation. Consent et accorde estre debouté de l’effect et exécution d’icelles et lad collation et provision dudit tresorier cassée et adnullée comme estant contre les fondacion et statutz de la Sainte-Chapelle ; et que en ladite place et office monsieur le tresorier nomme a chappitre autre personnaige… cappable et suffisant ; et offre paier les despens de ladite cause telz que de raison [le trésorier dit la même chose : nulle] ». Le 27 août 1555, « monsieur le trésorier a nommé Martin Le Vasseur a la place et office de son vicaire que tenoit messire François Courrat au lieu de Simon Gentilz quil avoit cy davant nommé qui ne s’est trouvé cappable » Il est renvoyé à de Beauregard et Crenequin comme les plus anciens chanoines (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1523, f. 49v et autres).
L’affaire Gentilz donne lieu à une lettre à Germain Gaillard à Paris datée du 3 août 1555 disant que « monsieur le trésorier par surprinse a fait collation a Simon Gentilz de sa vicairie en votre eglise… et Simon Gentilz a obtenu lettres patentes par lesquelles il est mandé au Bailly de Berry le mectre en possession de ladite vicairie… et nous a faict adjourner sur l’entherinement desd lettres et exhibé ladite pretendue collation dont nous avons estez grandement esbahyz… Ils se portent appelans comme d’abbus, malgré l’avis du conseil ». Simon Gentilz est aussi cité le 19 novembre 1558 dans le cadre de l’affaire Jehan Testard, qui est reçu vicaire marellier sans être « capable » d’être vicaire ordinaire c’est-à-dire chantre (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1502, 8G 1526).
Le 1er juin 1559, « sont comparus en leurs personnes [Jehan Testard barré] Simon Gentilz et Estienne Guynart vicaires marelliers lesquels ont declaré a messieurs qu’ilz avoient trouvé que les ornemens de l’eglise estoient entierement selon quilz sont contenus et declarez par l’inventaire d’iceulx et partant quilz s’en chargent et que Jehan Testard nagueres vicaire marrellier en demoure deschargé si bon semble ce faire a mesdits sieurs lequel Testard present a pryé mesdits sieurs l’en descharger. Sur ce mesdits sieurs ont ordonné que ledit Guiart et Gentilz signeront ledit inventaire desdits ornemens et que ledit Guyart sera obligé ses pleiges et cautions pour ce faict ordonnez ce que de raison ; a quoy monsieur de Fogieres na en riens conscenty et s’en est sorty de chappitre ». Le 13 juin 1559, « messieurs ont ordonné sur la requeste de Simon Gentilz vicaire qui ne luy sera presté aucuns deniers ». Le 17 juin 1559, messieurs ont « ordonné que le receveur delivrera a Simon Gentilz par le menu ce qui luy est deu sur ce present quartier actendu la malladie dudit Gentilz ». Le 23 décembre 1559, « Sur la requeste faicte par Simon Gentilz messieurs ont ordonné quil sera actendu ». Le 26 mars 1560, messieurs « ont donné a Michel Goyn, Jehan Testard et Simon Gentilz leurs distributions pour 3 jours a chacun d’eulx ». Le 3 mai 1561, Crenequin a receu et institué messire Pierre Fenchon chapelain au lieu et place de messire Jehan Lenain… A quoy messire Symon Gentilz vicaire present a dit quil s’opposoit ; et que ledit Fanchon n’estoit vicaire ne chappelain ; desquelles choses ledit Fauchon a requis acte a Germain Myneau notaire royal commis de messire Jehan Dauberville greffier de chapitre ». Le 14 février 1562, « sur ce que messire Symon Gentilz a prié messieurs luy prester la somme de 15 livres tournois pour aulcunes ses necessitez qui luy sera deduicte par quartier sur son gaigne, [messieurs ont] ordonné qu’il sera entendu de leur receveur s’il a moyen de le faire » (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1527, f. 23, 28, 29v, 94, 132v, 8G 1528 f. 9v-10 et autre).
Le 20 août 1563, « Dumaine vicaire general a fait venir en chapitre Estienne Guiart distributeur de l’eglise auquel il a demandé depuis quel temps messire Simon Gentilz vicaire s’est absenté ; responce quil y a unze mois ou plus que ledit Gentilz est absent de ladite eglise. Veue laquelle declaration et que ledit Gentilz s’est absenté sans congé ne permission dudit vicaire et dudit chapitre et suivant le statut d’icelluy ledit sieur vicaire general a declaré l’office de vicaire dudit Gentilz vaccant ». Le 18 décembre 1563, « monsieur le thesaurier a ratiffié et eu agreable la destitution par luy en devant faicte comme son vicaire general de la personne de messire Simon Gentilz de son office de vicaire quil tenoyt en l’eglise de ceans pour les causes portées par l’acte de ladite destitution faicte en chapitre le 21 aoust dernier ». Le 22 décembre 1563, « monsieur Crenequin a presenté a monsieur le thesaurier Gilles Huault a l’office et place de vicaire marrelier que tenoit Simon Gentilz » (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1530, f. 47v, 83, 85v).
Le 25 aout 1551, « sera baillé à Simon Gentilz gaigier de l’eglise la somme de 35 sous pour paier lapothicaire qui la penssé de sa malladie et pour le barbier qui l’a saigné ». Le 5 avril 1552, Simon Gentilz gagier de l’eglise reçoit « 10 livres tournois. pour lui avoir une robbe ». Le 25 juin 1552, Simon Gentilz vicaire est présenté à la place de messire Gilbert Bogy. Le rapport du chantre « l’a trouvé défectueux en voix, au moien de quoy lui semble que ledit Gentilz ne pourroit tenir et exercer ledit office ; veue la requeste dudit Gentilz présent qui les a priez et requis le recevoir a la charge qu’il deservira sa vie durant a la marrelle, et y fera sa residence, et qu’il ne pourra a l’advenir demander place de vicaire ou chappellain, et que des a present il se contente de ladite place de vicaire marrelier, messieurs en considerant que ledit Gentilz a de tout son jeune aige esté enffant de cueur en l’eglise de ceans et qu’il a toujours bien deservi ont esté d’advis le recevoir comme vicaire ». Le 19 octobre 1552, « messieurs ont ordonné qu’on paiera a Fraçoise Gentilz [peut-être une parente] revenderesse 16 lt. 12 sols 6 d. pour 9 aulnes de drap blanc pour faire des chausses aux enffans de cueur et pour les habiller ». Le 16 juin 1554, messieurs ont « ordonné que Simon Gentilz aura la clef des livres de musique pour sen donner garde autant de temps que Testard les a gardés et dont il sera responsable ». Le 3 novembre 1554, « le trésorier a presenté comme vicaire Simon Gentilz a la place de messire François Courrat ». Le 19 janvier 1555, le chantre présente son rapport sur Simon Gentilz. « Il a oy chanter de musique psalmodier dire espitre et evangille audit Simon Gentilz, lequelle il a trouvé incapable en voix que est la principalle partye de musique et plus requise en l’estat et office auquel il est presenté. Et est ce qui lui semble en vraye verité a ceste cause ne doit ledit Gentilz estre receu audit lieu et place. Joinct qu’il cognoist ladite Sainte-Chapelle estre degarnye de musiciens ayant bonne voix pour l’ornement et decoration de ladite eglise, ainsi que a volu et entendu le fondateur. Aussi que que pour ladite insuffisance, il a esté ordonné en chapitre a la requeste et priere dudit Gentilz que ne seroit receu a aultre place que de vicaire marrelier en laquelle il est, dont il s’est contenté et permis a l’advenir ne pouvoir demander aultre place de vicaire ou chappelain » (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1519, 8G 1520, 8G 1522).
Le 6 août 1555, « Symon Gentilz vicaire marrelier est comparu en chappitre lequel a pryé messieurs le revoir a la place de vicaire en l’eglise de ceans vaccant par le trespas de feu messire François Courrat suyvant la nommination que a faicte a chappitre monsieur le tresorier ; auquel Gentilz, messieurs ont faict responce que pieça feu monsieur le chantre messire Jaques Alabat auquel il avoit esté renvoyé pour l’examen avoit raporté son insuffisance qui estoit satisfaict a sadite requeste ». Le 17 août 1555, « en presence de maistres Jehan d’Auberville et Jehan Millet notaires royaux est comparu en chapitre messire Symon Gentilz vicaire marrellier qui a dict et declairé a monsieur le trésorier… que veu l’appel interjecté par messieurs le jour d’hier comme d’abbus en la court de Parlement a Paris de la collation et provision qui lui a esté faicte par ledit tresorier de l’office et place de vicaire que tenoit feu messire François Courrat [et vu qu’il est encore temps de renoncer a cet appel] a declaré qu’il ne veult se aider des lettres patentes par luy obtenues du roy nostre sire de l’entherinement desquelles est question, ne semblablement de ladite collation et provision a lui faicte par monsieur le tresorier dudit office et le 13e jour d’avril 1555 dernier signées Chevallier et se desiste de sesdites lettres patentes et de ladite collation. Consent et accorde estre debouté de l’effect et exécution d’icelles et lad collation et provision dudit tresorier cassée et adnullée comme estant contre les fondacion et statutz de la Sainte-Chapelle ; et que en ladite place et office monsieur le tresorier nomme a chappitre autre personnaige… cappable et suffisant ; et offre paier les despens de ladite cause telz que de raison [le trésorier dit la même chose : nulle] ». Le 27 août 1555, « monsieur le trésorier a nommé Martin Le Vasseur a la place et office de son vicaire que tenoit messire François Courrat au lieu de Simon Gentilz quil avoit cy davant nommé qui ne s’est trouvé cappable » Il est renvoyé à de Beauregard et Crenequin comme les plus anciens chanoines (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1523, f. 49v et autres).
L’affaire Gentilz donne lieu à une lettre à Germain Gaillard à Paris datée du 3 août 1555 disant que « monsieur le trésorier par surprinse a fait collation a Simon Gentilz de sa vicairie en votre eglise… et Simon Gentilz a obtenu lettres patentes par lesquelles il est mandé au Bailly de Berry le mectre en possession de ladite vicairie… et nous a faict adjourner sur l’entherinement desd lettres et exhibé ladite pretendue collation dont nous avons estez grandement esbahyz… Ils se portent appelans comme d’abbus, malgré l’avis du conseil ». Simon Gentilz est aussi cité le 19 novembre 1558 dans le cadre de l’affaire Jehan Testard, qui est reçu vicaire marellier sans être « capable » d’être vicaire ordinaire c’est-à-dire chantre (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1502, 8G 1526).
Le 1er juin 1559, « sont comparus en leurs personnes [Jehan Testard barré] Simon Gentilz et Estienne Guynart vicaires marelliers lesquels ont declaré a messieurs qu’ilz avoient trouvé que les ornemens de l’eglise estoient entierement selon quilz sont contenus et declarez par l’inventaire d’iceulx et partant quilz s’en chargent et que Jehan Testard nagueres vicaire marrellier en demoure deschargé si bon semble ce faire a mesdits sieurs lequel Testard present a pryé mesdits sieurs l’en descharger. Sur ce mesdits sieurs ont ordonné que ledit Guiart et Gentilz signeront ledit inventaire desdits ornemens et que ledit Guyart sera obligé ses pleiges et cautions pour ce faict ordonnez ce que de raison ; a quoy monsieur de Fogieres na en riens conscenty et s’en est sorty de chappitre ». Le 13 juin 1559, « messieurs ont ordonné sur la requeste de Simon Gentilz vicaire qui ne luy sera presté aucuns deniers ». Le 17 juin 1559, messieurs ont « ordonné que le receveur delivrera a Simon Gentilz par le menu ce qui luy est deu sur ce present quartier actendu la malladie dudit Gentilz ». Le 23 décembre 1559, « Sur la requeste faicte par Simon Gentilz messieurs ont ordonné quil sera actendu ». Le 26 mars 1560, messieurs « ont donné a Michel Goyn, Jehan Testard et Simon Gentilz leurs distributions pour 3 jours a chacun d’eulx ». Le 3 mai 1561, Crenequin a receu et institué messire Pierre Fenchon chapelain au lieu et place de messire Jehan Lenain… A quoy messire Symon Gentilz vicaire present a dit quil s’opposoit ; et que ledit Fanchon n’estoit vicaire ne chappelain ; desquelles choses ledit Fauchon a requis acte a Germain Myneau notaire royal commis de messire Jehan Dauberville greffier de chapitre ». Le 14 février 1562, « sur ce que messire Symon Gentilz a prié messieurs luy prester la somme de 15 livres tournois pour aulcunes ses necessitez qui luy sera deduicte par quartier sur son gaigne, [messieurs ont] ordonné qu’il sera entendu de leur receveur s’il a moyen de le faire » (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1527, f. 23, 28, 29v, 94, 132v, 8G 1528 f. 9v-10 et autre).
Le 20 août 1563, « Dumaine vicaire general a fait venir en chapitre Estienne Guiart distributeur de l’eglise auquel il a demandé depuis quel temps messire Simon Gentilz vicaire s’est absenté ; responce quil y a unze mois ou plus que ledit Gentilz est absent de ladite eglise. Veue laquelle declaration et que ledit Gentilz s’est absenté sans congé ne permission dudit vicaire et dudit chapitre et suivant le statut d’icelluy ledit sieur vicaire general a declaré l’office de vicaire dudit Gentilz vaccant ». Le 18 décembre 1563, « monsieur le thesaurier a ratiffié et eu agreable la destitution par luy en devant faicte comme son vicaire general de la personne de messire Simon Gentilz de son office de vicaire quil tenoyt en l’eglise de ceans pour les causes portées par l’acte de ladite destitution faicte en chapitre le 21 aoust dernier ». Le 22 décembre 1563, « monsieur Crenequin a presenté a monsieur le thesaurier Gilles Huault a l’office et place de vicaire marrelier que tenoit Simon Gentilz » (Pilleboue PCR d’après F-AD 18, 8G 1530, f. 47v, 83, 85v).
Bibliography
Pilleboue PCR